Dans un entretien, François Hommeril, président de la CFE-CGC, appelle à une réaction collective face à 30 ans de politiques néolibérales qui ont affaibli les acquis sociaux.
Il dénonce l’impuissance – parfois volontaire – du personnel politique, la montée d’un discours patronal dominant, et insiste sur l’urgence de remettre le paritarisme au centre : un vrai équilibre entre représentants des salariés et du patronat.
Pour lui, l’indépendance syndicale vis-à-vis des partis est non négociable. Le seul interlocuteur légitime reste l’État, garant du cadre des négociations.
Il appelle à élever le niveau du débat, à retrouver l’ambition du programme du Conseil National de la Résistance, et à redonner toute sa place au progrès social comme levier de cohésion… et d’efficacité économique.
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Source Silo